Comme une malédiction de vivre,
un héros déposant les armes faces à une machine infernale. D'un geste, d'un geste immense et ferme, je soulève ce coffre, je le tien fermement, comme une lanterne éclairée dans la nuit d'une forêt crépusculaire.
Alors, je contemple les âmes en peines, sans but ni chemin, et j'y pert de mon aura. La porte s'ouvrant, j'y vois encore des âmes, fixants une pendule, les narguant. Les empêchant de vivre leur temps.
Mais qui sont-ils ? ou vont-ils ? après tout, quel importance, il est probable qu'ils ne sachent eux mêmes pas la réponse à toutes ces questions.
Je détourne le regard , et observe un chat. Ses yeux n'ont jamais été aussi claires et limpides. A ce moment la, je le fixe, et je continue mon chemin.
" Je suis un mensonge ... qui dit... toujours ... la vérité. "